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BIOGRAPHIE

« Si vous voulez trouver les secrets de l’Univers,

pensez en termes de fréquences,

d’énergies et de vibrations »

 

Nicolas Tesla.

UN EXPLORATEUR DU VISIBLE ET DE L'INVISIBLE

Olivier Kauffer est un curieux. Explorateur du visible et de l’invisible, passionné par les arts créatifs et les expériences non conventionnelles, il collectionne les projets un peu fous. Monter l’Everest en solo avec une caméra 3D, partir à la recherche d’une nouvelle espèce animale au Mexique, ou descendre en rappel dans la grotte la plus profonde du monde,… rien ne l’effraye, tout le stimule. Peintre, réalisateur, auteur, chanteur, Olivier Kauffer est un hyperactif autodidacte, passionné par la diversité des supports et des techniques. Mais Olivier Kauffer n’a pas seulement le gout de l’aventure, il se passionne pour l’inconnu. Il est un voyageur immobile explorant les mondes subtils, depuis l’évanescence créatives de l’art jusqu’aux dimensions occultes de notre monde.

DE LA PEINTURE AU CINÉMA

Depuis toujours, Olivier est différent. Enfant hyperactif à haut potentiel, il peine à s’adapter aux cadres sclérosants du système scolaire. Cette différence inquiète ses parents qui conçoivent l’école comme la garante de sa réussite. 

 

Vers l’âge de 10 ans, Olivier trouve dans la peinture un moyen d’exprimer son originalité. Il s’essaye à l’aquarelle et à l’encre de Chine, et ainsi libérer sa créativité et sa sensibilité. Jusqu’à l’âge de 14 ans, il peint ainsi de nombreuses toiles sur papier. Mais cette passion pour l’art dérange ses parents qui y voient le symptôme de son anormalité. A tel point que son père décide de l’envoyer chez le psy, déterminé à le remettre sur le droit chemin.

 

Dès lors, Olivier devient obsédé par le fait de devenir normal. Il met de côté la peinture, tant elle semble être le stigmate de son caractère atypique. Tel un anthropologue, il se met à observer le monde et les gens pour cerner les comportements socialement acceptables. Ce faisant, son sens de l’observation s’aiguise et il se met à imiter les personnalités reconnues du monde médiatique. Seul dans sa chambre, il écoute les grands chanteurs et acteurs de l’époque et tente de les reproduire. Rapidement, il se forme aux techniques d’imitation. S’emparant de ce nouvel art, il se perfectionne et commence à jouer sur différentes scènes parisiennes. Le soir, il écoute les radios libres et découvre Radio Corsaire, une radio pirate dirigée par un groupe de jeunes passionnés, pour laquelle il deviendra rapidement animateur (à l’âge de 15 ans).

 

A 18 ans, ses talents d’animateurs et d’imitateurs le conduisent à fréquenter tous les humoristes émergents de l’époque et il est même envisagé pour faire partie de « la Classe ». En parallèle, il enregistre des voix pub pour Skyrock. Il fait la connaissance de Franck Samama, producteur de musique et d’humour, qui lui propose d’enregistrer un disque. Olivier Kauffer signe ainsi son premier single, « Latex » qui rencontre un succès d’estime auprès de la profession. Cette incursion dans la musique lui offre l’opportunité de s’essayer pour la première fois aux arts vidéos, puisqu’il réalise, avec un groupe d’ami, le clip du single. Ce nouvel art enflamme immédiatement sa passion. Olivier se lance dans une carrière de cinéaste.

DU CINÉMA À LA PEINTURE

En 1989, Olivier Kauffer monte sa société de production, KOM Productions, avec laquelle il réalise la captation de défilés de mode pour des créateurs tels que Franck Sorbier ou Jean Colonna. Il signe également quelques clips pour des artistes tels que Michel Delpech, Les infidèles, Paul Anka, ou Cheb Kader, sous la coupe de labels tels que Tréma. Il crée également des synopsis pour certains clips de Renaud, Touré Kunda ou encore Francis Lalanne. Ces expériences lui permettent de se former aux effets spéciaux. Cherchant toujours à repousser les frontières de la technologie, il est l’un des pionniers français en matière d’images de synthèse.

Fin des années 1990, Olivier Kauffer réalise de images de synthèse pour une société de production en Suède, où il décide de s’installer durant 3 ans. A son retour en France, il signe son premier documentaire « Un vétérinaire pas comme les autres » produit par TF1 et Odyssée. Le succès est au rendez-vous puisqu’il rassemble plus de 8 millions de téléspectateur lors de la première diffusion.


Quelques années plus tard, il réalise un documentaire de 90 minutes consacré aux arts du cirque « La folie Bouglione », pour Paris Première. Ce documentaire remarqué fait de lui un spécialiste de la captation des Arts du Cirque. Il réalise ainsi de nombreuses captations au cirque d’hiver et quelques documentaires parmi lesquels « Le 150e anniversaire du cirque d’hiver ». En 2010, il coréalise avec Fabien Remblier « Une nuit au cirque ». Tourné pendant le 18e Festival international du cirque de Massy, le film est présenté dans plus de 170 salles. Mais surtout, il devient alors le premier long métrage français en 3D.


En 2011, le film est nommé dans plusieurs festivals internationaux tels que le 3D Corean Festival, 3D Beyond (Allemagne) ou le 3D Film Festival of Los Angeles (USA), aux côtés de « Avatar » de James Cameron. Il reçoit le prix de la meilleure captation européenne au festival 3D Stéréo Media (renommé Stereopsia, Belgique).


Suite à ce succès, il se lance dans l’écriture d’une série de documentaires sur les mystères du monde. Il propose de partir, camera au point, explorer les sites mythiques les plus fascinants de la planète. Une société de production canadienne signe une option d’achat sur cette série, et réalise la pilote avec Kabo Productions.


En parallèle de sa carrière de cinéaste, Olivier Kauffer se rappelle à ses premiers amours : la peinture. En 2010, la rétrospective des œuvres de Kandinsky présentée au centre Georges Pompidou, lui fait un électrochoc. En sortant de l’exposition, il s’arrête dans un magasin où il achète aquarelles et encre de Chine. Immédiatement il se remet à peindre. Il est aujourd’hui l’auteur de près de 200 œuvres, toutes réalisées sur papier.

LA PEINTURE

"Sa démarche"

Olivier Kauffer crée dans l’instant, en quelques mouvements de jetés de peinture, sans réfléchir à la nature des œuvres qu’il produit. Conduit par une sorte de transe dans laquelle le mental n’a plus sa place, il ne pense ni aux couleurs qu’il va utiliser, ni à la forme, aux traits ou aux motifs qu’il va réaliser.  Disposant les couleurs et outils face à lui, il se laisse guider par l’intuition et le ressenti du corps à l’instant présent. Olivier Kauffer se livre entièrement, sans analyse ni retenue. Connecté à son âme, il livre ses émotions à l’état brut. Il capte sur la toile la pureté de l’Etre détaché de l’Ego. A travers son œuvre, il restitue, avec puissance et authenticité le courant de la Vie qui circule à travers ses corps.

 

"Techniques et Supports"

Le matériel de prédilection d’Olivier Kauffer est l’Eau. Elément fondateur et conducteur, il est royaume de l’émotion et le siège du féminin, porteur de Vie. Le féminin est gestation, intuitivité, spontanéité, et expansivité.  Olivier Kauffer s’imprègne de cette énergie créatrice lorsqu’il peint.

 

Inspiré par les travaux de l’artiste Masura Emoto, Olivier Kauffer est habité par la conviction que l’eau garde en elle la mémoire des corps, des fréquences, et des matières qu’elle traverse. Ainsi, l’eau mélangée à la peinture s’imprègne des énergies de l’artiste, au moment de la création.  

 

Mélangeant l’aquarelle à l’acrylique, ou tantôt des encres de chine, il façonne son œuvre à coup de truelles, couteaux ou pinceaux. Parfois, il travaille la matière directement avec les mains, ou manipule ses pinceaux les deux mains à la fois.

"Sa Philosophie"

« Si vous voulez trouver les secrets de l’Univers, pensez en termes de fréquences, d’énergies et de vibrations »- Nicolas Tesla.

 

Dans l’univers tout est vibration. Seules les interférences du mental viennent interrompre l’harmonie du monde. Pour Olivier Kauffer, la sincérité s’offre comme le canal le plus pur pour exprimer la vérité d’une émotion.

 

Le geste est onde de forme qui imprègne l’air environnant. L’air s’accole à l’eau des peintures pour calcifier les vibrations de l’instant. C’est pourquoi la justesse du geste, la pureté de l’action, la fluidité du mouvement, sont essentiel à la démarche créative d’Olivier Kauffer.

 

Son objectif est le partage de la sensation, la transmission de l’onde, de la vague d’énergie créatrice qui a conduit sa démarche. Il en est convaincu, les fréquences ainsi jetées sur la toiles sauront irradier longtemps autour d’elles, au-delà de notre regard et jusqu’à nos cœurs.

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